Religion : Seconde Guerre Mondiale et Conflits antérieurs, L'islam parviendra-t-il à assumer sa part d'ombre?

Ou l'islam sera-t-il englouti par sa part d'ombre? C'est en effet la question que l'on peut se poser tant est remarquable l'absence de travail des théologiens musulmans en matière de mémoire des crimes commis ou de participation à des crimes. L'islam peut-il sans dispenser, si l'on s'en tient aux déclarations du président Iranien, on constate que non, et l'idéologie que véhicule celui-ci est largement répandue et partagée au Moyen Orient à tel point que l'état d'Israël n'a pas de législation en matière de négation de la shoah car il faudrait alors condamner probablement 80% ou plus des citoyens musulmans Israëliens, sans parler bien sur des populations de Judée Samarie et de Gaza.

Dans les pays voisins, on note même l'absence de toute législation en matière de répression de propos racistes ou antisémites, tant sont répandus et quotidiens dans la presse et dans les rues les pires clichés et propos en tout genre.

Aussi l'islam ne pourra faire l'économie de la recherche dans ses textes et sa doctrine des éléments qui directement ou indirectement prépare les esprits à réserver un accueil bienveillant aux idées nauséabondes.

L'islam sous peine d'être emporter par ses propres ténèbres devra faire l'inventaire de ses crimes anciens et actuels et s'interoger sur l'influence de son texte originel dans l'accomplissement de ces crimes.

De même, l'islam ne peut pas faire l'économie de la recherche dans sa doctrine de sa responsabilité dans le développement de l'idéologie pronée à travers le Monde par les mouvements terroristes.

On notera qu'aucun haut responsable religieux de l'islam n'a condamné les propos du président Iranien ni ne s'exprime jamais sur les crimes passées.