Small Nations Times - EU - A la suite des déclarations du Président Poutine, le porte-parole du Conseil des Petites Nations a annoncé la tenue (suite)

d'une réunion extraordinaire du Conseil dès dimanche. Celui-ci a ajouté que cette réunion serait une téléconférence en raison de l'urgence et de l'impossibilité de réunir l'ensemble des représentants des Petites Nations dans un délai raisonnable au siège des Petites Nations Unies à Kissimmee, Florida, USA.
En effet, le porte-parole du Conseil a dans sa déclaration avoué avoir été surpris et estimé très positif pour l'avenir des Petites Nations et de leurs Droits, les propos du Président de La Russie.
"Le changement possible dans la diplomatie Russe à l'égard des Petites Nations est une excellente nouvelle pour tous ceux dont les terres sont volées, les cultures menacées et dont les droits sont niés." a-t-il déclaré.

Il ajoutera que le Conseil abordera en particulier la possibilité d'une visite en Russie d'une délégation du Conseil afin d'exposer les problèmes auxquels sont confrontés les Petites Nations Européennes et d'envisager des coopérations directes en matière économique et culturelle.

A la question des rapports entre les Etats Unis et la Russie, le porte-parole des Petites Nations a écarté toute référence se contentant d'indiquer que les Petites Nations sont en faveur de la Paix, de la coopération et oeuvrent pour la reconnaissance de leurs Droits.

Sur l'indépendance du Kosovo, le porte-parole a clairement indiqué qu'il était en l'état inenvisageable que des Serbes vivant sur des terres Serbes soient en état de siège permanent par une admnistration hostile multipliant la guerre administrative et spoliant leurs intérêts, ces territoires ne peuvent que relever de l'autorité de Belgrade, par ailleurs, l'ensemble des terres des 200 000 Serbes chassés du Kosovo par les criminels du régime de Pristina seront restituées à leurs propriétaires.

Breaking News - Nouveau Communiqué du Conseil - Breaking News

Dans ce nouveau communiqué, le Conseil des Petites Nations confirme qu'il tout à fait impossible d'accorder un quelconque crédit aux déclarations apaisantes des représentant du régime de Pristina sur la sécurité des Serbes sachant qu'en la matière la seule référence dont dispose le Conseil aujourd'hui est que les auteurs de ces propos bienveillants sont les mêmes que ceux qui sont responsables du départ contraint de leurs terres de deux cent mille Serbes.

Par ailleurs, le Conseil constate que le terme "equal opportuny" est particulièrement mal choisi s'agissant d'une terre ayant une histoire et dont on connait parfaitement l'ordre d'arrivée des habitants en vertu de quoi, les droits ne peuvent être identiques. La Petite Nation qui voit ses terres réduites doit être dédommagée su un jour un règlement politique est envisageable.