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Le procureur Puech chargé de l'affaire du meurtre d'un élève au collège A. Camus à Meaux près de Paris, après avoir annoncé que celui-ci était décédé d'un arrêt cardiaque par émotion forte a également annoncé l'ouverture de plusieurs enquêtes criminelles de grande envergure visant la médecine scolaire, les médecins soignant habituellement l'enfant, les médecins ayant réalisés les examens de santé obligatoires figurant dans le carnet de santé ainsi que toutes les personnes et institutions dont les missions sont de détecter des maladies graves.

Le procureur dans une colère visible a déclaré que ceux qui auraient dû détecter l'état de santé très précaire dans lequel se trouvait l'enfant, si précaire qu'une émotion forte l'a tué, peuvent et doivent s'attendre à de très sévères sanctions pour ne pas avoir exercer les responsabilités pour lesquelles ils sont payés.

Il a ajouté "qu'un enfant aussi gravement malade n'ait fait l'objet d'aucune prise en charge particulière, que le meilleur système de santé du monde n'ait pas permis de détecter une anomalie cardiaque aussi grave, il y a là, des gens qui n'ont pas fait leur travail, on ne meurt pas d'émotion même forte sans qu'au cours d'activités en particulier sportives, aucun signe n'ait été visible, tous ceux dont la mission est de veiller et de signaler seront poursuivis. Nous vérifierons également que l'enfant est bien été régulièrement suivi sur le plan médical.

Un procureur formidable bien qu'il n'est pas été élu, comme quoi on dit beaucoup de mal d'un système pour rien....