Paris Regime - Instructif, très instructif, tant sur la nature du régime que sur les médias du régime.
Sans autre forme de procès, ni même de discussions publiques entre ceux qui sont en faveur et ceux qui sont contre l'adoption de la Charte européenne des langues régionales et minoritaires, le ministre du régime a décidé que celle-ci n'était pas à l'ordre du jour. Il était légitime de penser que des médias libres allait s'emparer de ce scandale et imposerait avec ou sans l'accord du régime un débat sur l'injustice faites aux Petites Nations qui se voient ainsi une nouvelle fois nier toute forme de liberté et de droit, il n'en sera rien....
Le ministre du régime donnera toute une série d'arguments tous aussi invraisemblables, ridicules et frinchemin de très mauvaise foi pour justifier cette position qui exige une révision constitionnelle du régime et qui devrait être soumise à un référendum s'agissant enfin de la restitution d'une toute petite partie des droits des Petites Nations, leurs langues maternelles.
Faut-il être surpris?
Non, le pillage des Petites Nations est le fond de commerce du régime de Paris. Toutefois, avec cette charte, l'UE marque une première reconnaissance du caractère totalitaire du régime de Paris, le refus immédiat de celui-ci d'appliquer la charte ou de la soumettre à une consultation démocratique ne sera qu'une preuve supplémentaire à utiliser avec tous les interlocuteurs internationaux des Petites Nations et avec un peu de chance permettra d'obtenir enfin de l'Administration US une classification du régime permettant d'accélérer la reconnaissance de la qualité de réfugié pour les populations des Petites Nations.
Le refus du régime de Paris aura des conséquences, en particulier, l'USN a déjà déclaré qu'en constatant le refus par le régime d'appliquer une charte de liberté et de droits, le refus par le régime de consulter par voie démocratique les populations concernées par cette liberté et ces droits, celui-ci faisait l'aveu de sa faiblesse, de son caractère violent et spoliateur des Petites Nations, en vertu de quoi, il sera impossible pour l'USN d'employer le terme de "terroriste" pour les combattants de la liberté des Petites Nations même si l'USN rappelle son opposition à l'usage de la violence dans le combat politique.
A suivre....
Labels: Free Press says it all, Rough Times for Small Nations
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